La thyroglobuline est le précurseur glycoprotéique des hormones thyroïdiennes iodées thyroxine (T4) et triiodothyronine (T3). Elle est obtenue à partir de la glande thyroïde et présente les propriétés générales des globulines. La thyroglobuline humaine (hTG) est une glycoprotéine de haut poids moléculaire (605 kDa) présente dans les cellules folliculaires de la glande thyroïde. Elle joue un rôle central dans l'utilisation, l'incorporation et la biosynthèse régulée des hormones thyroïdiennes. L'anti-thyroglobuline réagit avec la thyroglobuline humaine, comme le démontre l'obtention d'une seule bande d'immunotransfert dans un lysat de tissu thyroïdien humain. La grande majorité des carcinomes folliculaires de la glande thyroïde immunoréagissent positivement avec l'anti-thyroglobuline, même si la réaction n'est parfois que focale. Le plus souvent, les carcinomes peu différenciés de la glande thyroïde ne réagissent pas à l'anti-thyroglobuline. Les adénocarcinomes d'origine autre que la glande thyroïde ne réagissent pas avec cet anticorps. Cet anticorps est utile pour l'identification des carcinomes thyroïdiens des types papillaire et folliculaire. La présence de thyroglobuline dans les lésions métastatiques établit l'origine thyroïdienne de la tumeur. L'anti-thyroglobuline, combinée à l'anti-calcitonine, peut permettre d'identifier le carcinome médullaire de la glande thyroïde. De plus, l'anti-thyroglobuline, combinée à l'anti-TTF1, peut être un marqueur fiable pour distinguer les néoplasmes primitifs thyroïdiens et pulmonaires.
La thyroglobuline est le précurseur glycoprotéique des hormones thyroïdiennes iodées thyroxine (T4) et triiodothyronine (T3). Elle est obtenue à partir de la glande thyroïde et présente les propriétés générales des globulines. La thyroglobuline humaine (hTG) est une glycoprotéine de haut poids moléculaire (605 kDa) présente dans les cellules folliculaires de la glande thyroïde. Elle joue un rôle central dans l'utilisation, l'incorporation et la biosynthèse régulée des hormones thyroïdiennes. L'anti-thyroglobuline réagit avec la thyroglobuline humaine, comme le démontre l'obtention d'une seule bande d'immunotransfert dans un lysat de tissu thyroïdien humain. La grande majorité des carcinomes folliculaires de la glande thyroïde immunoréagissent positivement avec l'anti-thyroglobuline, même si la réaction n'est parfois que focale. Le plus souvent, les carcinomes peu différenciés de la glande thyroïde ne réagissent pas à l'anti-thyroglobuline. Les adénocarcinomes d'origine autre que la glande thyroïde ne réagissent pas avec cet anticorps. Cet anticorps est utile pour l'identification des carcinomes thyroïdiens des types papillaire et folliculaire. La présence de thyroglobuline dans les lésions métastatiques établit l'origine thyroïdienne de la tumeur. L'anti-thyroglobuline, combinée à l'anti-calcitonine, peut permettre d'identifier le carcinome médullaire de la glande thyroïde. De plus, l'anti-thyroglobuline, combinée à l'anti-TTF1, peut être un marqueur fiable pour distinguer les néoplasmes primitifs thyroïdiens et pulmonaires.
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