Cette protéine appartient à la famille des facteurs de transcription à domaine « paired » (PAX). Les membres de cette famille de gènes codent généralement pour des protéines qui contiennent un domaine paired, un octapeptide et un homéodomaine de type paired. Cette protéine nucléaire joue un rôle dans le développement des cellules folliculaires de la thyroïde et dans l’expression des gènes spécifiques à la thyroïde. Des mutations de ce gène ont été associées à la dysgénésie thyroïdienne, à des carcinomes folliculaires de la thyroïde et à des adénomes atypiques de la thyroïde. La protéine PAX-8 est exprimée dans la thyroïde (et les carcinomes associés), les cellules muqueuses non ciliées des trompes de Fallope et les kystes d’inclusion ovariens simples, mais pas dans les cellules épithéliales de surface ovarienne saines. Elle est exprimée dans un pourcentage élevé de carcinomes ovariens séreux, de carcinomes endométrioïdes et de carcinomes à cellules claires, mais ne se retrouve que rarement dans les adénocarcinomes mucineux primitifs de l'ovaire. Des études ont également mis en évidence l'expression de la protéine PAX-8 dans les tubules rénaux ainsi que dans le carcinome à cellules rénales, le néphroblastome et le séminome. Une étude réalisée par Tong et al. a démontré que 98 % des carcinomes rénaux à cellules claires, 90 % des carcinomes à cellules rénales papillaires et 95 % des oncocytomes étaient positifs à l’anticorps anti-PAX-8 et que les fréquences de positivité étaient similaires à celles de l’anticorps anti-PAX-2. Par conséquent, l'anti-PAX-8 peut être utilisé comme marqueur immunohistochimique additionnel des tumeurs épithéliales rénales. Les tissus sains et les carcinomes du poumon n'expriment pas la protéine PAX-8. De même, l’absence d’expression de PAX-8 dans les carcinomes mammaires et les autres carcinomes non gynécologiques autres que ceux qui sont primitifs à la thyroïde indique que l’anticorps anti-PAX-8 est un nouveau marqueur important du cancer des ovaires qui est utile dans le diagnostic différentiel des tumeurs pulmonaires et du cou ou des tumeurs touchant des sites distants, lorsqu'un carcinome pulmonaire, mammaire ou thyroïdien primitif est possible. L’aassociation de l'anti-PAX-8 à des marqueurs spécifiques d’un organe donné, tels que l’anti-uroplakine III, l’anti-mammaglobine et l’anti-TTF-1, peut constituer un panel très utile pour déterminer le site primaire des carcinomes micropapillaires invasifs de l’ovaire originaires de la vessie, du poumon et du sein.
Témoin : Carcinome ovarien (carcinome non mucineux), carcinome thyroïdien, carcinome à cellules rénales
PAX-8 (MRQ-50)
Cette protéine appartient à la famille des facteurs de transcription à domaine « paired » (PAX). Les membres de cette famille de gènes codent généralement pour des protéines qui contiennent un domaine paired, un octapeptide et un homéodomaine de type paired. Cette protéine nucléaire joue un rôle dans le développement des cellules folliculaires de la thyroïde et dans l’expression des gènes spécifiques à la thyroïde. Des mutations de ce gène ont été associées à la dysgénésie thyroïdienne, à des carcinomes folliculaires de la thyroïde et à des adénomes atypiques de la thyroïde. La protéine PAX-8 est exprimée dans la thyroïde (et les carcinomes associés), les cellules muqueuses non ciliées des trompes de Fallope et les kystes d’inclusion ovariens simples, mais pas dans les cellules épithéliales de surface ovarienne saines. Elle est exprimée dans un pourcentage élevé de carcinomes ovariens séreux, de carcinomes endométrioïdes et de carcinomes à cellules claires, mais ne se retrouve que rarement dans les adénocarcinomes mucineux primitifs de l'ovaire. Des études ont également mis en évidence l'expression de la protéine PAX-8 dans les tubules rénaux ainsi que dans le carcinome à cellules rénales, le néphroblastome et le séminome. Une étude réalisée par Tong et al. a démontré que 98 % des carcinomes rénaux à cellules claires, 90 % des carcinomes à cellules rénales papillaires et 95 % des oncocytomes étaient positifs à l’anticorps anti-PAX-8 et que les fréquences de positivité étaient similaires à celles de l’anticorps anti-PAX-2. Par conséquent, l'anti-PAX-8 peut être utilisé comme marqueur immunohistochimique additionnel des tumeurs épithéliales rénales. Les tissus sains et les carcinomes du poumon n'expriment pas la protéine PAX-8. De même, l’absence d’expression de PAX-8 dans les carcinomes mammaires et les autres carcinomes non gynécologiques autres que ceux qui sont primitifs à la thyroïde indique que l’anticorps anti-PAX-8 est un nouveau marqueur important du cancer des ovaires qui est utile dans le diagnostic différentiel des tumeurs pulmonaires et du cou ou des tumeurs touchant des sites distants, lorsqu'un carcinome pulmonaire, mammaire ou thyroïdien primitif est possible. L’aassociation de l'anti-PAX-8 à des marqueurs spécifiques d’un organe donné, tels que l’anti-uroplakine III, l’anti-mammaglobine et l’anti-TTF-1, peut constituer un panel très utile pour déterminer le site primaire des carcinomes micropapillaires invasifs de l’ovaire originaires de la vessie, du poumon et du sein.
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Cette protéine appartient à la famille des facteurs de transcription à domaine « paired » (PAX). Les membres de cette famille de gènes codent généralement pour des protéines qui contiennent un domaine paired, un octapeptide et un homéodomaine de type paired. Cette protéine nucléaire joue un rôle dans le développement des cellules folliculaires de la thyroïde et dans l’expression des gènes spécifiques à la thyroïde. Des mutations de ce gène ont été associées à la dysgénésie thyroïdienne, à des carcinomes folliculaires de la thyroïde et à des adénomes atypiques de la thyroïde. La protéine PAX-8 est exprimée dans la thyroïde (et les carcinomes associés), les cellules muqueuses non ciliées des trompes de Fallope et les kystes d’inclusion ovariens simples, mais pas dans les cellules épithéliales de surface ovarienne saines. Elle est exprimée dans un pourcentage élevé de carcinomes ovariens séreux, de carcinomes endométrioïdes et de carcinomes à cellules claires, mais ne se retrouve que rarement dans les adénocarcinomes mucineux primitifs de l'ovaire. Des études ont également mis en évidence l'expression de la protéine PAX-8 dans les tubules rénaux ainsi que dans le carcinome à cellules rénales, le néphroblastome et le séminome. Une étude réalisée par Tong et al. a démontré que 98 % des carcinomes rénaux à cellules claires, 90 % des carcinomes à cellules rénales papillaires et 95 % des oncocytomes étaient positifs à l’anticorps anti-PAX-8 et que les fréquences de positivité étaient similaires à celles de l’anticorps anti-PAX-2. Par conséquent, l'anti-PAX-8 peut être utilisé comme marqueur immunohistochimique additionnel des tumeurs épithéliales rénales. Les tissus sains et les carcinomes du poumon n'expriment pas la protéine PAX-8. De même, l’absence d’expression de PAX-8 dans les carcinomes mammaires et les autres carcinomes non gynécologiques autres que ceux qui sont primitifs à la thyroïde indique que l’anticorps anti-PAX-8 est un nouveau marqueur important du cancer des ovaires qui est utile dans le diagnostic différentiel des tumeurs pulmonaires et du cou ou des tumeurs touchant des sites distants, lorsqu'un carcinome pulmonaire, mammaire ou thyroïdien primitif est possible. L’aassociation de l'anti-PAX-8 à des marqueurs spécifiques d’un organe donné, tels que l’anti-uroplakine III, l’anti-mammaglobine et l’anti-TTF-1, peut constituer un panel très utile pour déterminer le site primaire des carcinomes micropapillaires invasifs de l’ovaire originaires de la vessie, du poumon et du sein.
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Espèce : Souris (monoclonal)
Gamme de dilution : 1:50-1:200
Visualisation : Nucléaire
Isotype : IgG
Témoin : Carcinome ovarien (carcinome non mucineux), carcinome thyroïdien, carcinome à cellules rénales