La stathmine, également appelée oncoprotéine 18 (Op18), est une phosphoprotéine cytosolique de 19 kDa exprimée de façon ubiquitaire et responsable de l'intégration de divers signaux de régulation cellulaire. La stathmine interviendrait dans la régulation des points de contrôle G1-S et G2-de la progression du cycle cellulaire et joue un rôle majeur dans la prolifération, la différenciation, le développement et le morphogenèse cellulaires. La surexpression de la stathmine a été associée à la progression tumorale dans le carcinome de l'endomètre, le carcinome ovarien et le carcinome squameux de la cavité buccale. Une étude réalisée récemment par Howitt et al. sur 193 néoplasies interépithéliales de l'endomètre (NIE) a montré une réaction positive pour la stathmine dans 5/56 (9 %) des cas de NIE1, 5/11 (45 %) des cas de NIE2, 14/15 (93 %) des cas de NIE, ainsi que dans tous les cas d'adénocarcinome in situ (19/19), de carcinome squameux invasif (32/32) d'et adénocarcinome (34/34). Elle est utile pour distinguer les NIE3 de la majorité de leurs précurseurs de bas grade et des biopsies du col utérin négatives/réactionnelles.
Documentation:
Site du manufacturier:
Stathmine (EP247)
Lapin (monoclonal)
La stathmine, également appelée oncoprotéine 18 (Op18), est une phosphoprotéine cytosolique de 19 kDa exprimée de façon ubiquitaire et responsable de l'intégration de divers signaux de régulation cellulaire. La stathmine interviendrait dans la régulation des points de contrôle G1-S et G2-de la progression du cycle cellulaire et joue un rôle majeur dans la prolifération, la différenciation, le développement et le morphogenèse cellulaires. La surexpression de la stathmine a été associée à la progression tumorale dans le carcinome de l'endomètre, le carcinome ovarien et le carcinome squameux de la cavité buccale. Une étude réalisée récemment par Howitt et al. sur 193 néoplasies interépithéliales de l'endomètre (NIE) a montré une réaction positive pour la stathmine dans 5/56 (9 %) des cas de NIE1, 5/11 (45 %) des cas de NIE2, 14/15 (93 %) des cas de NIE, ainsi que dans tous les cas d'adénocarcinome in situ (19/19), de carcinome squameux invasif (32/32) d'et adénocarcinome (34/34). Elle est utile pour distinguer les NIE3 de la majorité de leurs précurseurs de bas grade et des biopsies du col utérin négatives/réactionnelles.
Lapin (monoclonal)
La stathmine, également appelée oncoprotéine 18 (Op18), est une phosphoprotéine cytosolique de 19 kDa exprimée de façon ubiquitaire et responsable de l'intégration de divers signaux de régulation cellulaire. La stathmine interviendrait dans la régulation des points de contrôle G1-S et G2-de la progression du cycle cellulaire et joue un rôle majeur dans la prolifération, la différenciation, le développement et le morphogenèse cellulaires. La surexpression de la stathmine a été associée à la progression tumorale dans le carcinome de l'endomètre, le carcinome ovarien et le carcinome squameux de la cavité buccale. Une étude réalisée récemment par Howitt et al. sur 193 néoplasies interépithéliales de l'endomètre (NIE) a montré une réaction positive pour la stathmine dans 5/56 (9 %) des cas de NIE1, 5/11 (45 %) des cas de NIE2, 14/15 (93 %) des cas de NIE, ainsi que dans tous les cas d'adénocarcinome in situ (19/19), de carcinome squameux invasif (32/32) d'et adénocarcinome (34/34). Elle est utile pour distinguer les NIE3 de la majorité de leurs précurseurs de bas grade et des biopsies du col utérin négatives/réactionnelles.