Le lymphome de Burkitt (LB) peut être morphologiquement impossible à distinguer du lymphomes diffus à grandes cellules B (LDGCB). La classification 2008 de l'Organisation mondiale de la santé prévoit une sous-catégorie de lymphomes agressifs dont les caractéristiques se situent entre celles du LB et celles du LDGCB, afin de tenir compte des cas dans la zone grise entre ces deux catégories. Un réarrangement des séquences du gène MYC est observé dans 3 % à 16 % des LDGCB et dans près de 100 % des LB. L'identification du statut du gène MYC est importante pour poser le diagnostic final de LDGCB, de LB ou de lymphome à cellules B, en présence de caractéristiques intermédiaires entre le LDGCB et le LB, ainsi que pour le diagnostic différentiel des lymphomes. Les résultats d'une étude ont montré que une expression immunohistochimique (IHC) de la protéine MYC par l'anticorps c-Myc dans 219 cas de LDGCB agressif et 7 cas de LB. L'expression nucléaire de la protéine MYC détectée par IHC s'est révélée être une méthode extrêmement sensible et spécifique pour détecter un réarrangement du gène MYC dans le LDGCB et le LB, où au moins 70 % des cellules du lymphome manifestent une positivité nucléaire.
L'essai IHC par c-Myc, associé à d'autres anticorps, par exemple ceux dirigés contre CD10, BCL2 ET Ki67, est très utile pour repérer les cas pour lesquels une analyse par hybridation in situ en fluorescence du gène MYC est nécessaire ou peut être omise. Il a été observé que la surexpression de la protéine MYC est fréquente dans les cellules luminales des néoplasies intraépithéliales de la prostate, ainsi que dans la plupart des carcinomes primaires et des maladies métastatiques. Toutefois, aucune corrélation n'a encore été établie entre la surexpression de la protéine MYC et l'augmentation du nombre de copies du gène MYC (8q24), ce qui semble indiquer l'existence de mécanismes alternatifs de surexpression de cette protéine.
Témoin : Lymphome de Burkitt, cancer de la prostate
c-Myc (EP121)
Le lymphome de Burkitt (LB) peut être morphologiquement impossible à distinguer du lymphomes diffus à grandes cellules B (LDGCB). La classification 2008 de l'Organisation mondiale de la santé prévoit une sous-catégorie de lymphomes agressifs dont les caractéristiques se situent entre celles du LB et celles du LDGCB, afin de tenir compte des cas dans la zone grise entre ces deux catégories. Un réarrangement des séquences du gène MYC est observé dans 3 % à 16 % des LDGCB et dans près de 100 % des LB. L'identification du statut du gène MYC est importante pour poser le diagnostic final de LDGCB, de LB ou de lymphome à cellules B, en présence de caractéristiques intermédiaires entre le LDGCB et le LB, ainsi que pour le diagnostic différentiel des lymphomes. Les résultats d'une étude ont montré que une expression immunohistochimique (IHC) de la protéine MYC par l'anticorps c-Myc dans 219 cas de LDGCB agressif et 7 cas de LB. L'expression nucléaire de la protéine MYC détectée par IHC s'est révélée être une méthode extrêmement sensible et spécifique pour détecter un réarrangement du gène MYC dans le LDGCB et le LB, où au moins 70 % des cellules du lymphome manifestent une positivité nucléaire.
L'essai IHC par c-Myc, associé à d'autres anticorps, par exemple ceux dirigés contre CD10, BCL2 ET Ki67, est très utile pour repérer les cas pour lesquels une analyse par hybridation in situ en fluorescence du gène MYC est nécessaire ou peut être omise. Il a été observé que la surexpression de la protéine MYC est fréquente dans les cellules luminales des néoplasies intraépithéliales de la prostate, ainsi que dans la plupart des carcinomes primaires et des maladies métastatiques. Toutefois, aucune corrélation n'a encore été établie entre la surexpression de la protéine MYC et l'augmentation du nombre de copies du gène MYC (8q24), ce qui semble indiquer l'existence de mécanismes alternatifs de surexpression de cette protéine.
http://www.cellmarque.com/Cell Marque
Le lymphome de Burkitt (LB) peut être morphologiquement impossible à distinguer du lymphomes diffus à grandes cellules B (LDGCB). La classification 2008 de l'Organisation mondiale de la santé prévoit une sous-catégorie de lymphomes agressifs dont les caractéristiques se situent entre celles du LB et celles du LDGCB, afin de tenir compte des cas dans la zone grise entre ces deux catégories. Un réarrangement des séquences du gène MYC est observé dans 3 % à 16 % des LDGCB et dans près de 100 % des LB. L'identification du statut du gène MYC est importante pour poser le diagnostic final de LDGCB, de LB ou de lymphome à cellules B, en présence de caractéristiques intermédiaires entre le LDGCB et le LB, ainsi que pour le diagnostic différentiel des lymphomes. Les résultats d'une étude ont montré que une expression immunohistochimique (IHC) de la protéine MYC par l'anticorps c-Myc dans 219 cas de LDGCB agressif et 7 cas de LB. L'expression nucléaire de la protéine MYC détectée par IHC s'est révélée être une méthode extrêmement sensible et spécifique pour détecter un réarrangement du gène MYC dans le LDGCB et le LB, où au moins 70 % des cellules du lymphome manifestent une positivité nucléaire.
L'essai IHC par c-Myc, associé à d'autres anticorps, par exemple ceux dirigés contre CD10, BCL2 ET Ki67, est très utile pour repérer les cas pour lesquels une analyse par hybridation in situ en fluorescence du gène MYC est nécessaire ou peut être omise. Il a été observé que la surexpression de la protéine MYC est fréquente dans les cellules luminales des néoplasies intraépithéliales de la prostate, ainsi que dans la plupart des carcinomes primaires et des maladies métastatiques. Toutefois, aucune corrélation n'a encore été établie entre la surexpression de la protéine MYC et l'augmentation du nombre de copies du gène MYC (8q24), ce qui semble indiquer l'existence de mécanismes alternatifs de surexpression de cette protéine.
http://www.cellmarque.com/Cell Marque
Espèce : Lapin (monoclonal)
Gamme de dilution : 1:25-1:100
Visualisation : Nucléaire
Isotype : IgG
Témoin : Lymphome de Burkitt, cancer de la prostate