Les altérations qualitatives et quantitatives de l'expression des récepteurs androgéniques dans le cancer de la prostate et leurs répercussions possibles sur l'évolution de la tumeur et le traitement présentent par conséquent un intérêt tant pour le diagnostic que pour la recherche. D'après les observations faites sur des lignées cellulaires tumorales prostatiques chez le rat et chez l'humain, la réduction de l'expression des récepteurs androgéniques au niveau protéique s'accompagne d'une augmentation de l'agressivité de la tumeur. Toutefois, l'analyse immunohistochimique et les dosages par liaison ont mis en évidence la présence de récepteurs androgéniques dans tous les types histologiques de carcinome prostatique, que la tumeur réponde ou non au traitement. La majorité des études immunohistochimiques des récepteurs androgéniques portent sur le cancer de la prostate chez les animaux de laboratoire. Chez les patients présentant au moins 48 % de cellules positives pour les récepteurs androgéniques, l'amélioration de l'issue du traitement était statistiquement significative en termes tant de survie sans progression que de survie selon la cause. Une autre étude laisse croire qu'avant le traitement, l'expression des récepteurs androgéniques seule n'est pas liée au pronostic du cancer de la prostate traité par voie hormonale; toutefois, combiné à l'expression de la protéine Bcl-2, il constitue un facteur pronostique indépendant de l'évolution clinique. Il a été démontré que la variabilité de la teneur en protéines de récepteurs androgéniques par unité d'aire nucléaire augmente avec le grade histologique, ce qui laisse croire qu'elle pourrait expliquer la réponse au traitement hormonal dans les tumeurs de haut grade. Le degré d'hétérogénéité de l'expression des récepteurs androgéniques peut être un indicateur utile de la réponse au traitement hormonal.
Les altérations qualitatives et quantitatives de l'expression des récepteurs androgéniques dans le cancer de la prostate et leurs répercussions possibles sur l'évolution de la tumeur et le traitement présentent par conséquent un intérêt tant pour le diagnostic que pour la recherche. D'après les observations faites sur des lignées cellulaires tumorales prostatiques chez le rat et chez l'humain, la réduction de l'expression des récepteurs androgéniques au niveau protéique s'accompagne d'une augmentation de l'agressivité de la tumeur. Toutefois, l'analyse immunohistochimique et les dosages par liaison ont mis en évidence la présence de récepteurs androgéniques dans tous les types histologiques de carcinome prostatique, que la tumeur réponde ou non au traitement. La majorité des études immunohistochimiques des récepteurs androgéniques portent sur le cancer de la prostate chez les animaux de laboratoire. Chez les patients présentant au moins 48 % de cellules positives pour les récepteurs androgéniques, l'amélioration de l'issue du traitement était statistiquement significative en termes tant de survie sans progression que de survie selon la cause. Une autre étude laisse croire qu'avant le traitement, l'expression des récepteurs androgéniques seule n'est pas liée au pronostic du cancer de la prostate traité par voie hormonale; toutefois, combiné à l'expression de la protéine Bcl-2, il constitue un facteur pronostique indépendant de l'évolution clinique. Il a été démontré que la variabilité de la teneur en protéines de récepteurs androgéniques par unité d'aire nucléaire augmente avec le grade histologique, ce qui laisse croire qu'elle pourrait expliquer la réponse au traitement hormonal dans les tumeurs de haut grade. Le degré d'hétérogénéité de l'expression des récepteurs androgéniques peut être un indicateur utile de la réponse au traitement hormonal.
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Les altérations qualitatives et quantitatives de l'expression des récepteurs androgéniques dans le cancer de la prostate et leurs répercussions possibles sur l'évolution de la tumeur et le traitement présentent par conséquent un intérêt tant pour le diagnostic que pour la recherche. D'après les observations faites sur des lignées cellulaires tumorales prostatiques chez le rat et chez l'humain, la réduction de l'expression des récepteurs androgéniques au niveau protéique s'accompagne d'une augmentation de l'agressivité de la tumeur. Toutefois, l'analyse immunohistochimique et les dosages par liaison ont mis en évidence la présence de récepteurs androgéniques dans tous les types histologiques de carcinome prostatique, que la tumeur réponde ou non au traitement. La majorité des études immunohistochimiques des récepteurs androgéniques portent sur le cancer de la prostate chez les animaux de laboratoire. Chez les patients présentant au moins 48 % de cellules positives pour les récepteurs androgéniques, l'amélioration de l'issue du traitement était statistiquement significative en termes tant de survie sans progression que de survie selon la cause. Une autre étude laisse croire qu'avant le traitement, l'expression des récepteurs androgéniques seule n'est pas liée au pronostic du cancer de la prostate traité par voie hormonale; toutefois, combiné à l'expression de la protéine Bcl-2, il constitue un facteur pronostique indépendant de l'évolution clinique. Il a été démontré que la variabilité de la teneur en protéines de récepteurs androgéniques par unité d'aire nucléaire augmente avec le grade histologique, ce qui laisse croire qu'elle pourrait expliquer la réponse au traitement hormonal dans les tumeurs de haut grade. Le degré d'hétérogénéité de l'expression des récepteurs androgéniques peut être un indicateur utile de la réponse au traitement hormonal.