La maladie sclérosante liée aux IgG4 a été reconnue comme une entité pathologique systémique qui se caractérise par un taux d’IgG4 sérique élevé, une fibrose sclérosante et une infiltration lymphoplasmocytaire diffuse avec présence de nombreux plasmocytes positifs aux IgG4. Les manifestations cliniques sont apparentes dans le pancréas, le canal biliaire, la vésicule biliaire, les glandes lacrymales, les glandes salivaires, le rétropéritoine, les reins, les poumons, le sein, la thyroïde et la prostate. Les analyses immunohistochimiques menées sur les cas de maladie sclérosante liée aux IgG4 indiquent non seulement que le nombre de plasmocytes positifs aux IgG4 est bien supérieur à la normale dans les tissus touchés, mais aussi que les rapports IgG4/IgG sont significativement supérieurs (généralement >30 %).
La maladie sclérosante liée aux IgG4 a été reconnue comme une entité pathologique systémique qui se caractérise par un taux d’IgG4 sérique élevé, une fibrose sclérosante et une infiltration lymphoplasmocytaire diffuse avec présence de nombreux plasmocytes positifs aux IgG4. Les manifestations cliniques sont apparentes dans le pancréas, le canal biliaire, la vésicule biliaire, les glandes lacrymales, les glandes salivaires, le rétropéritoine, les reins, les poumons, le sein, la thyroïde et la prostate. Les analyses immunohistochimiques menées sur les cas de maladie sclérosante liée aux IgG4 indiquent non seulement que le nombre de plasmocytes positifs aux IgG4 est bien supérieur à la normale dans les tissus touchés, mais aussi que les rapports IgG4/IgG sont significativement supérieurs (généralement >30 %).
http://www.cellmarque.com/Cell Marque
La maladie sclérosante liée aux IgG4 a été reconnue comme une entité pathologique systémique qui se caractérise par un taux d’IgG4 sérique élevé, une fibrose sclérosante et une infiltration lymphoplasmocytaire diffuse avec présence de nombreux plasmocytes positifs aux IgG4. Les manifestations cliniques sont apparentes dans le pancréas, le canal biliaire, la vésicule biliaire, les glandes lacrymales, les glandes salivaires, le rétropéritoine, les reins, les poumons, le sein, la thyroïde et la prostate. Les analyses immunohistochimiques menées sur les cas de maladie sclérosante liée aux IgG4 indiquent non seulement que le nombre de plasmocytes positifs aux IgG4 est bien supérieur à la normale dans les tissus touchés, mais aussi que les rapports IgG4/IgG sont significativement supérieurs (généralement >30 %).