Le récepteur de la transferrine (CD71) est principalement exprimé sur les syncytiotrophoblaste placentaires, les myocytes, les kératinocytes basaux, les hépatocytes, les cellules endocrines du pancréas, les spermatocytes, et les précurseurs érythroïdes1. Le niveau d'expression du récepteur de la transferrine est maximal dans les précurseurs érythroïdes précoces tout au long de la phase normoblastique intermédiaire, après quoi il diminue pendant la phase réticulocytaire. La maturation des érythrocytes entraîne une disparition de l'expression du récepteur de la transferrine, ainsi qu'une régulation négative de la machinerie servant à la synthèse de l'hémoglobine. La concentration élevée du récepteur de la transferrine dans les précurseurs érythroïdes en fait un excellent marqueur pour l'évaluation des éléments érythroïdes de la moelle osseuse. L'anti-CD71 est un marqueur extrêmement efficace de la présence des précurseurs érythroïdes dans les spécimens de biopsie de la moelle osseuse, qui présente les caractéristiques suivantes : 1) profil de coloration membranaire et cytoplasmique distinct, facile à reconnaître dans les biopsies de moelle osseuse; 2) restriction aux lignées érythroïdes dans les spécimens de biopsie de moelle osseuse; 3) l'expression du CD71 diminue avec le stade de maturation des érythrocytes, les niveaux les plus élevés étant observés dans les formes précoces et les niveaux les plus bas au stade normoblastique tardif et, surtout; 4) les érythrocytes matures n'expriment pas le CD71, ce qui facilite les analyses de la moelle osseuse. L'anti-CD71 est utile pour identifier les précurseurs érythroïdes avec très peu d'interférence des érythrocytes matures, et également pour caractériser la leucémie érythroïde, les troubles prolifératifs érythroïdes bénins et le syndrome myélodysplasique, même si des analyses additionnelles sont nécessaires pour poser un diagnostic définitif dans ce dernier cas.
Le récepteur de la transferrine (CD71) est principalement exprimé sur les syncytiotrophoblaste placentaires, les myocytes, les kératinocytes basaux, les hépatocytes, les cellules endocrines du pancréas, les spermatocytes, et les précurseurs érythroïdes1. Le niveau d'expression du récepteur de la transferrine est maximal dans les précurseurs érythroïdes précoces tout au long de la phase normoblastique intermédiaire, après quoi il diminue pendant la phase réticulocytaire. La maturation des érythrocytes entraîne une disparition de l'expression du récepteur de la transferrine, ainsi qu'une régulation négative de la machinerie servant à la synthèse de l'hémoglobine. La concentration élevée du récepteur de la transferrine dans les précurseurs érythroïdes en fait un excellent marqueur pour l'évaluation des éléments érythroïdes de la moelle osseuse. L'anti-CD71 est un marqueur extrêmement efficace de la présence des précurseurs érythroïdes dans les spécimens de biopsie de la moelle osseuse, qui présente les caractéristiques suivantes : 1) profil de coloration membranaire et cytoplasmique distinct, facile à reconnaître dans les biopsies de moelle osseuse; 2) restriction aux lignées érythroïdes dans les spécimens de biopsie de moelle osseuse; 3) l'expression du CD71 diminue avec le stade de maturation des érythrocytes, les niveaux les plus élevés étant observés dans les formes précoces et les niveaux les plus bas au stade normoblastique tardif et, surtout; 4) les érythrocytes matures n'expriment pas le CD71, ce qui facilite les analyses de la moelle osseuse. L'anti-CD71 est utile pour identifier les précurseurs érythroïdes avec très peu d'interférence des érythrocytes matures, et également pour caractériser la leucémie érythroïde, les troubles prolifératifs érythroïdes bénins et le syndrome myélodysplasique, même si des analyses additionnelles sont nécessaires pour poser un diagnostic définitif dans ce dernier cas.
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Le récepteur de la transferrine (CD71) est principalement exprimé sur les syncytiotrophoblaste placentaires, les myocytes, les kératinocytes basaux, les hépatocytes, les cellules endocrines du pancréas, les spermatocytes, et les précurseurs érythroïdes1. Le niveau d'expression du récepteur de la transferrine est maximal dans les précurseurs érythroïdes précoces tout au long de la phase normoblastique intermédiaire, après quoi il diminue pendant la phase réticulocytaire. La maturation des érythrocytes entraîne une disparition de l'expression du récepteur de la transferrine, ainsi qu'une régulation négative de la machinerie servant à la synthèse de l'hémoglobine. La concentration élevée du récepteur de la transferrine dans les précurseurs érythroïdes en fait un excellent marqueur pour l'évaluation des éléments érythroïdes de la moelle osseuse. L'anti-CD71 est un marqueur extrêmement efficace de la présence des précurseurs érythroïdes dans les spécimens de biopsie de la moelle osseuse, qui présente les caractéristiques suivantes : 1) profil de coloration membranaire et cytoplasmique distinct, facile à reconnaître dans les biopsies de moelle osseuse; 2) restriction aux lignées érythroïdes dans les spécimens de biopsie de moelle osseuse; 3) l'expression du CD71 diminue avec le stade de maturation des érythrocytes, les niveaux les plus élevés étant observés dans les formes précoces et les niveaux les plus bas au stade normoblastique tardif et, surtout; 4) les érythrocytes matures n'expriment pas le CD71, ce qui facilite les analyses de la moelle osseuse. L'anti-CD71 est utile pour identifier les précurseurs érythroïdes avec très peu d'interférence des érythrocytes matures, et également pour caractériser la leucémie érythroïde, les troubles prolifératifs érythroïdes bénins et le syndrome myélodysplasique, même si des analyses additionnelles sont nécessaires pour poser un diagnostic définitif dans ce dernier cas.