La KIM-1 (molécule 1 associée aux lésions rénales), également appelée HAVcr-1 (récepteur cellulaire 1 du virus de l'hépatite A), est une glycoprotéine transmembranaire qui contribue à la modulation immunitaire, à la réaction allergique et à la susceptibilité aux infections virales. La KIM-1 est présente dans de très nombreux tissus et est localisée dans la membrane apicale. Si l'expression de la KIM-1 est en général non détectable dans le rein sain, des niveaux élevés de cette protéine ont été observés dans les tubules proximaux du rein post-ischémique, ce qui laisse croire qu'elle pourrait servir de marqueur de la dédifférenciation pour indiquer les premiers stades de la réponse épithéliale à une lésion. Un nombre considérable d'études ont mis en évidence la régulation de l'ARNm de la KIM-1 et de sa protéine à la suite d'une néphrotoxicité aiguë. Ce biomarqueur a donc été jugé acceptable par la FDA pour la détection de la néphrotoxicité aiguë d'origine médicamenteuse chez le rat durant la phase préclinique du développement des médicaments.
La KIM-1 a également fait l'objet d'évaluations exhaustives dans le carcinome à cellules rénales (CCR). Une surexpression de la KIM-1 a été observée dans plus de 90 % des CCR à cellules claires et dans 82 % des CCR primaires. Comparativement au rein sain, son expression est réduite dans les oncocytomes bénins. De plus, la présence de la KIM-1 a également été détectée dans les ganglions lymphatiques dans lesquels les tumeurs ont formé des métastases. Ces observations sont en accord avec l'interprétation selon laquelle les CCR à cellules claires et les CCR papillaires sont issus des cellules tubulaires proximales, tandis que les oncocytomes proviennent du néphron distal. Récemment, une surexpression de la KIM-1 a aussi été observée dans le carcinome ovarien à cellules claires et dans le cancer colorectal.
Documentation:
Site du manufacturier:
KIM-1 (HAVcr-1)
Lapin (monoclonal)
La KIM-1 (molécule 1 associée aux lésions rénales), également appelée HAVcr-1 (récepteur cellulaire 1 du virus de l'hépatite A), est une glycoprotéine transmembranaire qui contribue à la modulation immunitaire, à la réaction allergique et à la susceptibilité aux infections virales. La KIM-1 est présente dans de très nombreux tissus et est localisée dans la membrane apicale. Si l'expression de la KIM-1 est en général non détectable dans le rein sain, des niveaux élevés de cette protéine ont été observés dans les tubules proximaux du rein post-ischémique, ce qui laisse croire qu'elle pourrait servir de marqueur de la dédifférenciation pour indiquer les premiers stades de la réponse épithéliale à une lésion. Un nombre considérable d'études ont mis en évidence la régulation de l'ARNm de la KIM-1 et de sa protéine à la suite d'une néphrotoxicité aiguë. Ce biomarqueur a donc été jugé acceptable par la FDA pour la détection de la néphrotoxicité aiguë d'origine médicamenteuse chez le rat durant la phase préclinique du développement des médicaments.
La KIM-1 a également fait l'objet d'évaluations exhaustives dans le carcinome à cellules rénales (CCR). Une surexpression de la KIM-1 a été observée dans plus de 90 % des CCR à cellules claires et dans 82 % des CCR primaires. Comparativement au rein sain, son expression est réduite dans les oncocytomes bénins. De plus, la présence de la KIM-1 a également été détectée dans les ganglions lymphatiques dans lesquels les tumeurs ont formé des métastases. Ces observations sont en accord avec l'interprétation selon laquelle les CCR à cellules claires et les CCR papillaires sont issus des cellules tubulaires proximales, tandis que les oncocytomes proviennent du néphron distal. Récemment, une surexpression de la KIM-1 a aussi été observée dans le carcinome ovarien à cellules claires et dans le cancer colorectal.
Lapin (monoclonal)
La KIM-1 (molécule 1 associée aux lésions rénales), également appelée HAVcr-1 (récepteur cellulaire 1 du virus de l'hépatite A), est une glycoprotéine transmembranaire qui contribue à la modulation immunitaire, à la réaction allergique et à la susceptibilité aux infections virales. La KIM-1 est présente dans de très nombreux tissus et est localisée dans la membrane apicale. Si l'expression de la KIM-1 est en général non détectable dans le rein sain, des niveaux élevés de cette protéine ont été observés dans les tubules proximaux du rein post-ischémique, ce qui laisse croire qu'elle pourrait servir de marqueur de la dédifférenciation pour indiquer les premiers stades de la réponse épithéliale à une lésion. Un nombre considérable d'études ont mis en évidence la régulation de l'ARNm de la KIM-1 et de sa protéine à la suite d'une néphrotoxicité aiguë. Ce biomarqueur a donc été jugé acceptable par la FDA pour la détection de la néphrotoxicité aiguë d'origine médicamenteuse chez le rat durant la phase préclinique du développement des médicaments.
La KIM-1 a également fait l'objet d'évaluations exhaustives dans le carcinome à cellules rénales (CCR). Une surexpression de la KIM-1 a été observée dans plus de 90 % des CCR à cellules claires et dans 82 % des CCR primaires. Comparativement au rein sain, son expression est réduite dans les oncocytomes bénins. De plus, la présence de la KIM-1 a également été détectée dans les ganglions lymphatiques dans lesquels les tumeurs ont formé des métastases. Ces observations sont en accord avec l'interprétation selon laquelle les CCR à cellules claires et les CCR papillaires sont issus des cellules tubulaires proximales, tandis que les oncocytomes proviennent du néphron distal. Récemment, une surexpression de la KIM-1 a aussi été observée dans le carcinome ovarien à cellules claires et dans le cancer colorectal.