Les kératines sont des protéines des filaments intermédiaires cytoplasmiques exprimées par les cellules épithéliales. La CK5 est une cytokératine de type II. Des mutations du gène de la kératine 5 entraînant une perte de fonction (KRT5) ont touché des membres d'une même famille et, chez six patients sans liens familiaux atteints de la maladie de Dowling-Degos, ont provoqué une génodermatose à transmission autosomique dominante. Cela laisse penser que les kératines joueraient un rôle central dans l'organisation de l'adhésion cellulaire, de la captation des mélanosomes, du transport des organelles et de l'ancrage nucléaire. La CK5 marque les cellules myoépithéliales du sein et les cellules basales de la prostate. La CK5 et la calrétinine ont été utiles dans différentes études à titre de marqueurs immunohistochimiques évocateurs de la présence d'un mésothéliome. Leur expression est analysée pour faciliter le diagnostic différentiel histologique par rapport à l'adénocarcinome, en particulier face à des tumeurs métastatiques d'origine inconnue. La cytokératine 6 humaine de type II (CK6; 56 kDa) est bien connue pour son effet inducteur important dans les épithéliums stratifiés se manifestant par une élévation du taux de prolifération cellulaire ou une différenciation anormale durant la cicatrisation des plaies, dans plusieurs maladies (p. ex. psoriasis, kératose actinique) et dans le cancer. La CK6 est exprimée à la surface des épithéliums stratifiés, y compris la muqueuse buccale, l'œsophage, la couche basale de l'épiderme, la gaine épithéliale externe des follicules pileux et les épithéliums glandulaires. La CK6 est un marqueur des kératinocytes hyperprolifératifs et activés observés dans le psoriasis. Associée à la CK5, la CK6 est utile pour distinguer les mésothéliomes (positif) du carcinome pulmonaire (négatif) ou du carcinome métastatique (négatif) dans la plèvre. L'association d'anticorps dirigés contre CK5/6 est également utilisée pour distinguer l'hyperplasie canalaire typique du sein (forte coloration) du carcinome canalaire in situ papillaire solide (négative).
Les kératines sont des protéines des filaments intermédiaires cytoplasmiques exprimées par les cellules épithéliales. La CK5 est une cytokératine de type II. Des mutations du gène de la kératine 5 entraînant une perte de fonction (KRT5) ont touché des membres d'une même famille et, chez six patients sans liens familiaux atteints de la maladie de Dowling-Degos, ont provoqué une génodermatose à transmission autosomique dominante. Cela laisse penser que les kératines joueraient un rôle central dans l'organisation de l'adhésion cellulaire, de la captation des mélanosomes, du transport des organelles et de l'ancrage nucléaire. La CK5 marque les cellules myoépithéliales du sein et les cellules basales de la prostate. La CK5 et la calrétinine ont été utiles dans différentes études à titre de marqueurs immunohistochimiques évocateurs de la présence d'un mésothéliome. Leur expression est analysée pour faciliter le diagnostic différentiel histologique par rapport à l'adénocarcinome, en particulier face à des tumeurs métastatiques d'origine inconnue. La cytokératine 6 humaine de type II (CK6; 56 kDa) est bien connue pour son effet inducteur important dans les épithéliums stratifiés se manifestant par une élévation du taux de prolifération cellulaire ou une différenciation anormale durant la cicatrisation des plaies, dans plusieurs maladies (p. ex. psoriasis, kératose actinique) et dans le cancer. La CK6 est exprimée à la surface des épithéliums stratifiés, y compris la muqueuse buccale, l'œsophage, la couche basale de l'épiderme, la gaine épithéliale externe des follicules pileux et les épithéliums glandulaires. La CK6 est un marqueur des kératinocytes hyperprolifératifs et activés observés dans le psoriasis. Associée à la CK5, la CK6 est utile pour distinguer les mésothéliomes (positif) du carcinome pulmonaire (négatif) ou du carcinome métastatique (négatif) dans la plèvre. L'association d'anticorps dirigés contre CK5/6 est également utilisée pour distinguer l'hyperplasie canalaire typique du sein (forte coloration) du carcinome canalaire in situ papillaire solide (négative).
Les kératines sont des protéines des filaments intermédiaires cytoplasmiques exprimées par les cellules épithéliales. La CK5 est une cytokératine de type II. Des mutations du gène de la kératine 5 entraînant une perte de fonction (KRT5) ont touché des membres d'une même famille et, chez six patients sans liens familiaux atteints de la maladie de Dowling-Degos, ont provoqué une génodermatose à transmission autosomique dominante. Cela laisse penser que les kératines joueraient un rôle central dans l'organisation de l'adhésion cellulaire, de la captation des mélanosomes, du transport des organelles et de l'ancrage nucléaire. La CK5 marque les cellules myoépithéliales du sein et les cellules basales de la prostate. La CK5 et la calrétinine ont été utiles dans différentes études à titre de marqueurs immunohistochimiques évocateurs de la présence d'un mésothéliome. Leur expression est analysée pour faciliter le diagnostic différentiel histologique par rapport à l'adénocarcinome, en particulier face à des tumeurs métastatiques d'origine inconnue. La cytokératine 6 humaine de type II (CK6; 56 kDa) est bien connue pour son effet inducteur important dans les épithéliums stratifiés se manifestant par une élévation du taux de prolifération cellulaire ou une différenciation anormale durant la cicatrisation des plaies, dans plusieurs maladies (p. ex. psoriasis, kératose actinique) et dans le cancer. La CK6 est exprimée à la surface des épithéliums stratifiés, y compris la muqueuse buccale, l'œsophage, la couche basale de l'épiderme, la gaine épithéliale externe des follicules pileux et les épithéliums glandulaires. La CK6 est un marqueur des kératinocytes hyperprolifératifs et activés observés dans le psoriasis. Associée à la CK5, la CK6 est utile pour distinguer les mésothéliomes (positif) du carcinome pulmonaire (négatif) ou du carcinome métastatique (négatif) dans la plèvre. L'association d'anticorps dirigés contre CK5/6 est également utilisée pour distinguer l'hyperplasie canalaire typique du sein (forte coloration) du carcinome canalaire in situ papillaire solide (négative).