Le BMI-1 (homologue de la région d'insertion 1 Mo-MLV du lymphome B), un élément clé du complexe PRC1, a été à l'origine identifié comme un oncogène qui coopère avec c-myc dans le développement du lymphome à cellules B. Il agit comme un répresseur de la transcription et intervient dans le silençage de l'expression génique et la transformation maligne et l'agressivité biologique de plusieurs carcinomes humains. La surexpression du BMI-1 est corrélée à la progression tumorale dans diverses in tumeurs malignes, y compris le lymphome non hodgkinien à lymphocytes B, le carcinome squameux de l'oesophage et les cancers de la vessie, du col de l'utérus, de l'ovaire et du sein. Par contre, l'arrêt de l'expression du BMI a été associé à une diminution de la survie chez les patients atteints d'un mélanome.
Le BMI-1 (homologue de la région d'insertion 1 Mo-MLV du lymphome B), un élément clé du complexe PRC1, a été à l'origine identifié comme un oncogène qui coopère avec c-myc dans le développement du lymphome à cellules B. Il agit comme un répresseur de la transcription et intervient dans le silençage de l'expression génique et la transformation maligne et l'agressivité biologique de plusieurs carcinomes humains. La surexpression du BMI-1 est corrélée à la progression tumorale dans diverses in tumeurs malignes, y compris le lymphome non hodgkinien à lymphocytes B, le carcinome squameux de l'oesophage et les cancers de la vessie, du col de l'utérus, de l'ovaire et du sein. Par contre, l'arrêt de l'expression du BMI a été associé à une diminution de la survie chez les patients atteints d'un mélanome.
Le BMI-1 (homologue de la région d'insertion 1 Mo-MLV du lymphome B), un élément clé du complexe PRC1, a été à l'origine identifié comme un oncogène qui coopère avec c-myc dans le développement du lymphome à cellules B. Il agit comme un répresseur de la transcription et intervient dans le silençage de l'expression génique et la transformation maligne et l'agressivité biologique de plusieurs carcinomes humains. La surexpression du BMI-1 est corrélée à la progression tumorale dans diverses in tumeurs malignes, y compris le lymphome non hodgkinien à lymphocytes B, le carcinome squameux de l'oesophage et les cancers de la vessie, du col de l'utérus, de l'ovaire et du sein. Par contre, l'arrêt de l'expression du BMI a été associé à une diminution de la survie chez les patients atteints d'un mélanome.