Les actines sont des éléments constitutifs essentiels du cytosquelette qui sont exprimées dans toutes les cellules eucaryotes. Si l'actine est l'une des protéines des eucaryotes les mieux conservées, elle possède six isoformes caractérisées par une analyse du point isoélectrique et de la séquence des acides aminés. Quatre d'entre elles sont des marqueurs de la différenciation des tissus musculaires et deux se retrouvent dans pratiquement toutes les cellules. Ces six isoformes différentes de l'actine partagent une séquence homologue à 90 % sur toute la molécule, mais ont chacune une séquence unique des 18 premiers résidus à l'extrémité amino-terminale. On pense que ces actines participent au maintien de l'activité contractile et à d'autres fonctions cellulaires. L'anticorps anti-actine alpha (muscles lisses) reconnaît l'actine des muscles lisses et ne produit aucune réaction croisée avec l'actine des muscle squelettique ou cardiaques ou avec l'actine non musculaire. Il marque spécifiquement les cellules des muscles lisses, les myofibroblastes et les cellules myoépithéliales. Cet anticorps est un outil précieux pour l'identification des cellules des muscles lisses et des tumeurs dérivées des muscles lisses.
Les actines sont des éléments constitutifs essentiels du cytosquelette qui sont exprimées dans toutes les cellules eucaryotes. Si l'actine est l'une des protéines des eucaryotes les mieux conservées, elle possède six isoformes caractérisées par une analyse du point isoélectrique et de la séquence des acides aminés. Quatre d'entre elles sont des marqueurs de la différenciation des tissus musculaires et deux se retrouvent dans pratiquement toutes les cellules. Ces six isoformes différentes de l'actine partagent une séquence homologue à 90 % sur toute la molécule, mais ont chacune une séquence unique des 18 premiers résidus à l'extrémité amino-terminale. On pense que ces actines participent au maintien de l'activité contractile et à d'autres fonctions cellulaires. L'anticorps anti-actine alpha (muscles lisses) reconnaît l'actine des muscles lisses et ne produit aucune réaction croisée avec l'actine des muscle squelettique ou cardiaques ou avec l'actine non musculaire. Il marque spécifiquement les cellules des muscles lisses, les myofibroblastes et les cellules myoépithéliales. Cet anticorps est un outil précieux pour l'identification des cellules des muscles lisses et des tumeurs dérivées des muscles lisses.
Les actines sont des éléments constitutifs essentiels du cytosquelette qui sont exprimées dans toutes les cellules eucaryotes. Si l'actine est l'une des protéines des eucaryotes les mieux conservées, elle possède six isoformes caractérisées par une analyse du point isoélectrique et de la séquence des acides aminés. Quatre d'entre elles sont des marqueurs de la différenciation des tissus musculaires et deux se retrouvent dans pratiquement toutes les cellules. Ces six isoformes différentes de l'actine partagent une séquence homologue à 90 % sur toute la molécule, mais ont chacune une séquence unique des 18 premiers résidus à l'extrémité amino-terminale. On pense que ces actines participent au maintien de l'activité contractile et à d'autres fonctions cellulaires. L'anticorps anti-actine alpha (muscles lisses) reconnaît l'actine des muscles lisses et ne produit aucune réaction croisée avec l'actine des muscle squelettique ou cardiaques ou avec l'actine non musculaire. Il marque spécifiquement les cellules des muscles lisses, les myofibroblastes et les cellules myoépithéliales. Cet anticorps est un outil précieux pour l'identification des cellules des muscles lisses et des tumeurs dérivées des muscles lisses.