La cytokératine 5 est une protéine des filaments intermédiaires d'un poids moléculaire de 58 kDa de la famille des cytokératines. C'est une cytokératine de type II (basique). Les anticorps dirigés contre cette protéine permettent d'identifier les cellules basales des épithéliums squameux et glandulaires, du myoépithélium ainsi que du mésothélium1. La cytokératine 14 est un polypeptide de 50 kDa présent dans les cellules basales de l'épithélium squameux, de certains épithéliums glandulaires, du myoépithélium ainsi que dans les cellules mésothéliales1.
L'anti-cytokératine 5 s'est révélée utile dans le diagnostic différentiel du carcinome métastatique de la plèvre par rapport au mésothéliome épithélial2. Presque tous les carcinomes squameux, la moitié des carcinomes transitionnels et de nombreux carcinomes à grandes cellules indifférenciés réagissent par immunocoloration avec l'anti-CK5. Il a été démontré que l'anti-CK 14 était utile pour distinguer le carcinome squameux6 des autres tumeurs épithéliales3,4. L'anti-CK5 est utilisé en association avec l'anti-CK14 comme indicateur du phénotype basaloïde dans le carcinome du sein, une tumeur dont le pronostic est défavorable5,7,8.
La cytokératine 5 est une protéine des filaments intermédiaires d'un poids moléculaire de 58 kDa de la famille des cytokératines. C'est une cytokératine de type II (basique). Les anticorps dirigés contre cette protéine permettent d'identifier les cellules basales des épithéliums squameux et glandulaires, du myoépithélium ainsi que du mésothélium1. La cytokératine 14 est un polypeptide de 50 kDa présent dans les cellules basales de l'épithélium squameux, de certains épithéliums glandulaires, du myoépithélium ainsi que dans les cellules mésothéliales1.
L'anti-cytokératine 5 s'est révélée utile dans le diagnostic différentiel du carcinome métastatique de la plèvre par rapport au mésothéliome épithélial2. Presque tous les carcinomes squameux, la moitié des carcinomes transitionnels et de nombreux carcinomes à grandes cellules indifférenciés réagissent par immunocoloration avec l'anti-CK5. Il a été démontré que l'anti-CK 14 était utile pour distinguer le carcinome squameux6 des autres tumeurs épithéliales3,4. L'anti-CK5 est utilisé en association avec l'anti-CK14 comme indicateur du phénotype basaloïde dans le carcinome du sein, une tumeur dont le pronostic est défavorable5,7,8.
La cytokératine 5 est une protéine des filaments intermédiaires d'un poids moléculaire de 58 kDa de la famille des cytokératines. C'est une cytokératine de type II (basique). Les anticorps dirigés contre cette protéine permettent d'identifier les cellules basales des épithéliums squameux et glandulaires, du myoépithélium ainsi que du mésothélium1. La cytokératine 14 est un polypeptide de 50 kDa présent dans les cellules basales de l'épithélium squameux, de certains épithéliums glandulaires, du myoépithélium ainsi que dans les cellules mésothéliales1.
L'anti-cytokératine 5 s'est révélée utile dans le diagnostic différentiel du carcinome métastatique de la plèvre par rapport au mésothéliome épithélial2. Presque tous les carcinomes squameux, la moitié des carcinomes transitionnels et de nombreux carcinomes à grandes cellules indifférenciés réagissent par immunocoloration avec l'anti-CK5. Il a été démontré que l'anti-CK 14 était utile pour distinguer le carcinome squameux6 des autres tumeurs épithéliales3,4. L'anti-CK5 est utilisé en association avec l'anti-CK14 comme indicateur du phénotype basaloïde dans le carcinome du sein, une tumeur dont le pronostic est défavorable5,7,8.